"PETIT ET LE VELO DU DIABLE 2"
Le Diable de Petit, personne ne l'avait vu..
Et d'ailleurs, personne n'allait au château...
Certains du village disaient qu'ils avaient rencontré
Un monsieur sombret, habillé tout en noir,
Qui marchait parfois et souvent sur la rue de là bas.
Un monsieur qu'ils ne connaissaient pas du tout.
Mais un monsieur tout en noir, ce n'était pas le Diable !
"Petit, il n'y a pas de Diable, il n'y a personne.
C'est toi qui crois tout seul à un Diable...
C'est parce que tu as peur d'aller dans le château."
Eh oui. Petit marchait et se promenait du côté de partout.
Mais jamais sur le chemin qui arrivait au château.
"Amie, comment tu sais que le vélo est parti par là ?"
"On me l'a dit. Quelqu'un d'ici me l'a dit.
Il a vu le vélo qui partait, sans doute de ton chez toi.
Et qui partait vers jusqu'au château.
Il y avait un monsieur qui roulait avec lui dessus.
Un monsieur,, un pas connu, et tout avec du noir.
Et le vélo grand, qui n'est même pas grand,
Le vélo qui est venu et que tu as trouvé, un jour,
C'est pas un vélo tout noir, presque,
Avec les marques d'une marque un peu blanche..?"
Un nuage, tout seul, caressait le bleu du Ciel.
Le Soleil chauffait beaucoup les gens et les maisons.
Amie et Petit rentrèrent dans son chez lui.
Son autre chez lui, c'était une grotte et une remise.
Une vieille remise construite il y a très longtemps.
Contre la grotte. Avec une porte du fond, pour rentrer dedans.
C'était pas dans le village, et c'était caché.
Et le village ? Il était loin de la ville. Assez loin.
Il n'était pas petit. Mais il n'était pas grand.
Amie disait qu'il était moyen.
Dans ce village moyen et tout seul,
Tout le monde connaissait tout le monde.
Et les autres. Mais pas les gens d'ailleurs.
Et les gens d'ailleurs, le village se méfiait !
Il n'était pas méchant. Gentil au contraire
Mais il se méfiait...
Il faisait des sourires mais ne disait rien.
Le village écoutait avec son sourire, mais ne disait rien à ces gens.
Parfois des gens d'ailleurs devenaient des gens du village.
Mais c'était rare.Et il y avait longtemps.
Mais aussi, des gens du village partaient ailleurs.
Ainsi, le village devenait de moins en moins moyen
Les gens d'ici étaient très simples. Pas compliqué
Ils croyaient tout et beaucoup de choses bizarres,
Que le vent des rues, de la place, de l'église
Faisaient voler et faisaient rentrer par les portes.
Il y avait un chef, et un curé, et un docteur.
Il y avait aussi une maison à médicaments et trois magasins.
Le boulanger, le boucher et l'épicier,
Celui qui vendait tout et tout le reste.
Et, pour le peu qui n'était pas dans le reste,
Il fallait prendre la route de la ville, assez loin.
Avec un autobus, qui venait quand il voulait.
Avec l'automobile pour les gens un peu riches et plus.
Avec le vélo pour les autres gens, qui avaient le temps et la force.
L'autobus, on le connaissait très bien.
Les automobiles et les vélos des gens d'ici, aussi..
Mais depuis des jours et un temps, qui devenait certain,
Il y avait deux changements dans les habitudes connues.
Un monsieur sombre , habillé tout avec du noir.
Et un grand vélo, qui n'était pas un vélo du village,
Que Petit avait trouvé. Il avait roulé dessus.
Comme tout le monde apprenait et savait tout,
Tout le monde savait, ou croyait savoir
Que le vélo du mystère était parti avec le monsieur en noir.
Vers le château vieux et qu'il était rentré dedans.
Pour les gens et les voisins, le château cassé et noir
N'était pas sur le village. Il était plus loin.
Donc, le vélo du mystère et le monsieur dessus
N'intéressaient plus personne. On le disait partout.
Mais Petit n'était pas le seul du tout
A parler, tout bas, du Diable dans ce château.
Souvent les nuages s'installaient en rangs
Juste après que la dernière maison soit passée
Et faisaient que le château du Diable n'existait plus...
A suivre...
Le Diable de Petit, personne ne l'avait vu..
Et d'ailleurs, personne n'allait au château...
Certains du village disaient qu'ils avaient rencontré
Un monsieur sombret, habillé tout en noir,
Qui marchait parfois et souvent sur la rue de là bas.
Un monsieur qu'ils ne connaissaient pas du tout.
Mais un monsieur tout en noir, ce n'était pas le Diable !
"Petit, il n'y a pas de Diable, il n'y a personne.
C'est toi qui crois tout seul à un Diable...
C'est parce que tu as peur d'aller dans le château."
Eh oui. Petit marchait et se promenait du côté de partout.
Mais jamais sur le chemin qui arrivait au château.
"Amie, comment tu sais que le vélo est parti par là ?"
"On me l'a dit. Quelqu'un d'ici me l'a dit.
Il a vu le vélo qui partait, sans doute de ton chez toi.
Et qui partait vers jusqu'au château.
Il y avait un monsieur qui roulait avec lui dessus.
Un monsieur,, un pas connu, et tout avec du noir.
Et le vélo grand, qui n'est même pas grand,
Le vélo qui est venu et que tu as trouvé, un jour,
C'est pas un vélo tout noir, presque,
Avec les marques d'une marque un peu blanche..?"
Un nuage, tout seul, caressait le bleu du Ciel.
Le Soleil chauffait beaucoup les gens et les maisons.
Amie et Petit rentrèrent dans son chez lui.
Son autre chez lui, c'était une grotte et une remise.
Une vieille remise construite il y a très longtemps.
Contre la grotte. Avec une porte du fond, pour rentrer dedans.
C'était pas dans le village, et c'était caché.
Et le village ? Il était loin de la ville. Assez loin.
Il n'était pas petit. Mais il n'était pas grand.
Amie disait qu'il était moyen.
Dans ce village moyen et tout seul,
Tout le monde connaissait tout le monde.
Et les autres. Mais pas les gens d'ailleurs.
Et les gens d'ailleurs, le village se méfiait !
Il n'était pas méchant. Gentil au contraire
Mais il se méfiait...
Il faisait des sourires mais ne disait rien.
Le village écoutait avec son sourire, mais ne disait rien à ces gens.
Parfois des gens d'ailleurs devenaient des gens du village.
Mais c'était rare.Et il y avait longtemps.
Mais aussi, des gens du village partaient ailleurs.
Ainsi, le village devenait de moins en moins moyen
Les gens d'ici étaient très simples. Pas compliqué
Ils croyaient tout et beaucoup de choses bizarres,
Que le vent des rues, de la place, de l'église
Faisaient voler et faisaient rentrer par les portes.
Il y avait un chef, et un curé, et un docteur.
Il y avait aussi une maison à médicaments et trois magasins.
Le boulanger, le boucher et l'épicier,
Celui qui vendait tout et tout le reste.
Et, pour le peu qui n'était pas dans le reste,
Il fallait prendre la route de la ville, assez loin.
Avec un autobus, qui venait quand il voulait.
Avec l'automobile pour les gens un peu riches et plus.
Avec le vélo pour les autres gens, qui avaient le temps et la force.
L'autobus, on le connaissait très bien.
Les automobiles et les vélos des gens d'ici, aussi..
Mais depuis des jours et un temps, qui devenait certain,
Il y avait deux changements dans les habitudes connues.
Un monsieur sombre , habillé tout avec du noir.
Et un grand vélo, qui n'était pas un vélo du village,
Que Petit avait trouvé. Il avait roulé dessus.
Comme tout le monde apprenait et savait tout,
Tout le monde savait, ou croyait savoir
Que le vélo du mystère était parti avec le monsieur en noir.
Vers le château vieux et qu'il était rentré dedans.
Pour les gens et les voisins, le château cassé et noir
N'était pas sur le village. Il était plus loin.
Donc, le vélo du mystère et le monsieur dessus
N'intéressaient plus personne. On le disait partout.
Mais Petit n'était pas le seul du tout
A parler, tout bas, du Diable dans ce château.
Souvent les nuages s'installaient en rangs
Juste après que la dernière maison soit passée
Et faisaient que le château du Diable n'existait plus...
A suivre...