Judy "Blue Eyes" Collins
Elle est née le premier mai 1939, à Seattle...
Mais comment évoquer par des mots simples ou compliqués quelqu'un
Comme la "grande" Judith Marjorie Collins, Judy Blue Eyes, Judy Collins...
Jacques Vassal, dans son livre quasi-biblique "Folksong", maintes fois réédité, écrit :
"Une grande chanteuse, une femme honnète et courageuse, une féministe, une écologiste
Convaincue et l'instigatrice de tout un nouveau courant de chanteuses dans le monde"
On pourrait ajouter, une femme remarquablement belle et émouvante, avec ses célèbres yeux bleus.
Sa jeunesse, à Denver, ses études à Jacksonville et à l'université de Boulder...
Elle est née et a grandit dans la musique et la chanson.
A six ans, elle apprenait le piano, et interprétait un concert de Mozart, en public, à 13 ans.
Mais, bien vite, au contact, entre autres, des Montagnes Rocheuses, elle expérimente
La chanson folklorique...
Mariée, elle rejoint Greewitch Village à New York, et rencontre Pete Seeger,
Joan Baez, Phil Ochs, Bob Dylan....
Interprète, elle choisit souvent ses chansons dans les collections traditionnelles.
Et, en 1961, c'est " A maid of constant sorrow", que suivront une quarantaine d'albums,
Jusque "Paradise", en 2010.
Elle continue à explorer, avec sa voix , son charisme et son talent exceptionnel,
Avec des accompagnements musicaux adaptés, un répertoire
Issu des différents folklores, Irlandais, Ecossais, Anglais,....Américains.
Maie elle se tourne aussi vers l'actualité, les événements qui la marquent.
Son premier grand récital, ce sera le 21 mars 1964 à New York.
Bientôt, elle prendra ses distances avec la politique.
"Cela divise les gens en nous et eux. Cela annule la signification que peut avoir
La musique, qui devrait englober tout un chacun...Nous passons tellement de nos vies
A ergoter et à nous quereller." Tout est dit !
Sa musique devient aussi plus variée, plus "pop".
Elle chantera Brel, avec beaucoup de bonheur et réussite.
En 1967, c'est "Wildflower", avec ses premières compositions, et premiers succès
Surtout, le remarquable "Both sides now" de son amie Joni Mitchell.
1968, elle est produite par Stephen Stills, avec plusieurs accompagnements
"Country and western"...
Ses superbes yeux bleus impressionneront Stephen, qui composera
Une perle pour son groupe : "Suite : Judy Blue Eyes".
Elle avance dans sa carrière, ne reniant jamais ses convictions,
Avec un répertoire de reprises plus variées.
Le Gospel, les Rolling Stones...Mais aussi le remarquable
"City of New Orleans" de Steve Goodman...
Elle explorera aussi les classiques des années 30 et 40.
Malgré de nombreuses crises privées, divorce, suicide de son fils,
Et professionnelles, elle restera intègre, en décalage, parfois, avec ses "fans".
A Paris, elle donnera deux concerts, en 1971 et 1972.
Certains regretteront par la suite des arrangements
Trop surchargés par rapport à la simplicité de ses débuts.
Entre chansons, écrits (trois livres) et engagements (UNICEF, lutte contre la drogue..),
La grande Judy Collins est toujours restée notre "Judy Blue Eyes"
Elle est née le premier mai 1939, à Seattle...
Mais comment évoquer par des mots simples ou compliqués quelqu'un
Comme la "grande" Judith Marjorie Collins, Judy Blue Eyes, Judy Collins...
Jacques Vassal, dans son livre quasi-biblique "Folksong", maintes fois réédité, écrit :
"Une grande chanteuse, une femme honnète et courageuse, une féministe, une écologiste
Convaincue et l'instigatrice de tout un nouveau courant de chanteuses dans le monde"
On pourrait ajouter, une femme remarquablement belle et émouvante, avec ses célèbres yeux bleus.
Sa jeunesse, à Denver, ses études à Jacksonville et à l'université de Boulder...
Elle est née et a grandit dans la musique et la chanson.
A six ans, elle apprenait le piano, et interprétait un concert de Mozart, en public, à 13 ans.
Mais, bien vite, au contact, entre autres, des Montagnes Rocheuses, elle expérimente
La chanson folklorique...
Mariée, elle rejoint Greewitch Village à New York, et rencontre Pete Seeger,
Joan Baez, Phil Ochs, Bob Dylan....
Interprète, elle choisit souvent ses chansons dans les collections traditionnelles.
Et, en 1961, c'est " A maid of constant sorrow", que suivront une quarantaine d'albums,
Jusque "Paradise", en 2010.
Elle continue à explorer, avec sa voix , son charisme et son talent exceptionnel,
Avec des accompagnements musicaux adaptés, un répertoire
Issu des différents folklores, Irlandais, Ecossais, Anglais,....Américains.
Maie elle se tourne aussi vers l'actualité, les événements qui la marquent.
Son premier grand récital, ce sera le 21 mars 1964 à New York.
Bientôt, elle prendra ses distances avec la politique.
"Cela divise les gens en nous et eux. Cela annule la signification que peut avoir
La musique, qui devrait englober tout un chacun...Nous passons tellement de nos vies
A ergoter et à nous quereller." Tout est dit !
Sa musique devient aussi plus variée, plus "pop".
Elle chantera Brel, avec beaucoup de bonheur et réussite.
En 1967, c'est "Wildflower", avec ses premières compositions, et premiers succès
Surtout, le remarquable "Both sides now" de son amie Joni Mitchell.
1968, elle est produite par Stephen Stills, avec plusieurs accompagnements
"Country and western"...
Ses superbes yeux bleus impressionneront Stephen, qui composera
Une perle pour son groupe : "Suite : Judy Blue Eyes".
Elle avance dans sa carrière, ne reniant jamais ses convictions,
Avec un répertoire de reprises plus variées.
Le Gospel, les Rolling Stones...Mais aussi le remarquable
"City of New Orleans" de Steve Goodman...
Elle explorera aussi les classiques des années 30 et 40.
Malgré de nombreuses crises privées, divorce, suicide de son fils,
Et professionnelles, elle restera intègre, en décalage, parfois, avec ses "fans".
A Paris, elle donnera deux concerts, en 1971 et 1972.
Certains regretteront par la suite des arrangements
Trop surchargés par rapport à la simplicité de ses débuts.
Entre chansons, écrits (trois livres) et engagements (UNICEF, lutte contre la drogue..),
La grande Judy Collins est toujours restée notre "Judy Blue Eyes"